Dring drang drung. Ceci est le bruit de mon réveil. Il est 6h47 du mat’ (et non pas 6h45, c’est psychologique, toi même tu sais) j’ai dormi 4h à tout péter et j’ai les boules à l’idée de me lever.
Sauf que ah oui, j’oubliais (pardonnez la phase d’adaptation de mon cervelet à se le remémorer) : je n’ai pas le droit de me plaindre parce que ce week-end, je pars explorer les fins fonds culinaires de London, ma capitale européenne préférée. Oh yeah.
CHAPITRE 1 / L’EUROSTAR EN BUSINESS PREMIER.
Gare du Nord, au fond après le Relay – en haut à droite de la sortie de l’ascenseur dont les portes galèrent à fermer mais que tout le monde veut choper.
Après un café serré, un chignon vite-fait bien-fait et deux chaussettes dépareillées, j’enfourche ma valisette en direction de la gare du Nord, où mon Eurostar m’attend avec un plateau petit-dej multi-options 100% anglais – et la presse à volonté. Le must, c’est que je ne me suis pointée que dix minutes avant le départ du train en toute détente et sans qu’on me fasse chier : c’est officiel, vive la business premier.
Ce que j’aime à l’aller, c’est que le passage du tunnel sous la Manche offre comme par magie le privilège de pouvoir gagner une heure sur le week-end pour kiffer : after the décalage horaire dans l’Eurostar, je me sens un peu comme Harry Potter et son quai neuf trois-quart.
«_ Mademoiselle ? Je vous réserve un taxi pour votre arrivée à Londres ?» me propose gentiment la madame de mon wagonnet.
_ S’il vole comme la voiture de Ron Weasley, je veux bien me laisser tenter.»
La madame du wagonnet n’a pas rigolé. Tout bien pesé, je crois que j’ai juste envie de mind the gap between the train and the platform dans le subway.
CHAPITRE 2 / L’HOTEL HALKIN BY COMO *****.
5-6 Halkin St, London SW1X 7DJ.
Tel : +44 20 7333 1000.
M° : Hyde Park Corner.
http://www.comohotels.com/thehalkin
Restaurant « Ametsa with Arzak Instructions » étoilé Michelin. Menu midi : 24,50 pounds (ça c’est d’la value for money.)
Une Oyster Card validée et quatre arrêts de métro plus tard sur la ligne bleue foncée (voui, je me repère en couleurs dans le métro Londonien, désoleï;) à la station Hyde Park Corner me voici arrivée. After asking my way to some street scones sellers (que par ailleurs, je pris un malin plaisir à m’enfiler,) je check-in au sublime Halkin By Como, une petite pépite d’hôtel design et contemporain, où ma chambre est réservée.
A peine installée, et déjà monte en moi la félicité : ma chambre est immense, ma salle de bain fait rêver et en plus, y a même des clémentines qui m’attendent au cas où j’ai envie de me collationneï. Dieu soit loué.
Sonne ensuite le gong de mon premier déjeuner anglais : c’est au rez-de-chaussée de l’hôtel, c’est un basque étoilé et ça s’appelle le «Ametsa with Arzak Instructions»; puisque la bombe de famille Arzak (propriétaires du fameux 3 étoiles éponyme à San Sebastian, classé 8e sur les 50 meilleurs restaurants mondiaux) a collaboré à l’élaboration de la carte (et j’peux vous dire que ça se sent sous le palais.)
Attablée contre la baie vitrée (avec en prime un soleil inespéré qui me caresse le bout du nez,) je me nourris déjà du calme qui règne en prince Albert dans cette salle à la déco épurée, mais pourtant chaleureuse à souhait. Fixés au plafond, je bloque sur ces innombrables tubes à essais (cimer les cours de chimie d’il y a dix ans pour m’avoir permis de les identifier,) fan du fait qu’ils aient été remplis des épices chouchoutes du chef, utilisées dans les assiettes.
Et c’est parti mon kéké. Certes, we are in Leundeun – et dans un resto étoilé – mais le menu midi avec assortiments d’entrées, plat et dessert est ici à 24,50 pounds (soit moins de 30 euros) et j’peux vous dire que c’est de la grosse value for money comme on aime s’en délecter.
Ça commence une farandole de tapas de rêve en entrées : des encornets à l’encre de seiche «chipirones», aux poivrons confits et marinés en passant par la blanche de jambon ibérico «Joselito» : j’ai déjà envie d’aller voir le chef Sergio Sanz Blanco et de le féliciter.
En plat, j’opte pour le sublimissime Hake nappé de sa sauce balsamiquée, et accompagné d’un oignon nouveau confit à se damner. Côté viandes, la joue de boeuf délicatement braisée à la vanille est aussi à essayer. Et dans nos verres ? Un agréable Belondrade y Lurton 2011, qui me rendit pompette et heureuse tout le déjeuner (et même après.)
Côté desserts, je fondis littéralement pour les French toasts (servis avec leurs sorbets mangue et coco) et pour cette killeuse de glace ananas nappée d’une crème aux clous de girofles – et enfermée de tuiles de lait léger-léger.
C’est décidé : je vais chez Topshop à pied pour digérer (sauf que comme MÊME chez Topshop, y a un bar à cupcake et à Frozen Yogurt, je suis clairement mal barrée.)
Après une ENORME session shopping qui me fit bien mal au pied (et au porte-monnaie,) me voici de retour à l’hôtel pour une douche express avant de repartir dîner. Oh, mais on dirait que ça a sonné.
Et là, il s’est passé un truc juste insensé. Deux mignonnes nanas de la réception ont déboulé et m’ont proposé une session «get ready to go to bed», vous savez ce que c’est ?
L’idée, c’est que les damoiselles te ferment les volets, t’ouvrent le lit douillet et te mettent même tes pantoufles au pied du sommier pour qu’en rentrant fatiguée, tu n’aies plus qu’à te faxer comme Gad Elmaleh.
Sur la tête de la Queen Elizabeth, je crois que je vais emménager. Et ça, c’était avant même de goûter au petit-déjeuner (c’est l’Acte 4, vous comprendrez.)
CHAPITRE 3 / BURGER AND LOBSTER.
5e étage de Harvey Nichols,
109-125 Knightsbridge, London SW1X 7RJ.
Tel : +44 20 7201 8676.
Ouvert tous les jours de 12h à 22h30.
Autres adresses dans la City, à Mayfair, à Soho et à Farrington.
Menu burger ou lobster au prix unique de 20 pounds (oh yeah.)
http://www.burgerandlobster.com/
Premier dîner. Burger & Lobster, c’est un peu le concept de rendez-vous galant dont les femmes comme les hommes ont toujours rêvé : pendant que môssieu se satisfait d’un bon gros burger/frite de rêve dégoulinant à souhait, madôme se délecte expressément de son demi-homard pré-découpé avec fritasses et petite salade de saison joliment présentés.
Ah oui, et en bonne option intermédiaire, il y a le lobster roll – j’oubliais : cette brioche beurrée complètement gueudin, et remplie d’une généreuse chair de homard délicatement assaisonnée. A 20 pounds l’option A comme l’option B comme l’option C, j’ai l’honneur de vous annoncer que j’ai trouvé le burger le plus cher et le homard le moins cher de ma capitale adorée.
T’avais cas pas être accro aux patates et à la viande mecton, ça te fera les pieds. Et surtout, ici, faut pas hésiter : mets ton bavoir siglé pour ne pas te tâcher.
Bon ben bonne nuit, je vais me coucher. Ou me lobsterollifier dans mes draps enchantés. Et en plus, je n’ai plus qu’à me glisser…
CHAPITRE 4 / LE PETIT DEJEUNER DU HALKIN BY COMO.
(Certes, ce sera un mini chapitre – mais qui mérite cependant amplement l’appellation chapitre de part sa bôté.)
Des ptits dejs d’hôtels, j’en ai fait et refait – mais celui-ci m’a littéralement bluffée. Et en plus, il est servi à table dans la salle du « Ametsa with Arzak Instructions », et inclus dans le prix de la chambrée.
Déjà, cette remarquable collection de thés, cafés et jus et smoothies frais; avec mention spéciale pour cette tuerie «Corporate social responsibility» à base de cresson, épinards, menthe, rhubarbe, pomme et passion qui donne bien le ton healthy.
Ensuite, la multiplicité des options : voilà qu’on ne sait donner de la tête parmi tous ces sublimes fruits, yaourts, mueslis, waffles, crêpes, pancakes, charcuteries et même fromtons – sans parler des 13 possibilités de vous servir vos œufs, des brouillés au saumon aux pochés au bacon, histoire d’être vraiment sûr de commencer la journée du bon pied.
Mais ce que j’ai le plus kiffé, c’est de loin les «healthy dishes options» : ou l’art de te faire kiffer à base d’une omelette blancs d’œufs et de légumes frais, comme seulement à la maison j’ai l’occasion de manger.
Après un pareil petit-déjeuner, c’est dire si ta journée ne peut que bien se passer. Héhé.
CHAPITRE 5 : LE SAINT-JAMES HOTEL AND CLUB *****.
7-8 Park Place, London SW1A 1LS.
Tel : +44 20 7629 7688.
M° : Green Park.
Restaurant étoilé Michelin – chef William Drabble.
http://www.stjameshotelandclub.com/
J’ai craqué, j’ai pris un taco. C’était juste pour le kiff de pouvoir m’asseoir par terre et de faire le trajet à l’envers, adossée contre ce pauvre strapontin dont personne ne se sert jamais. Après une première nuit au Halkin By Como, direction le Saint-James Hôtel and Club, ce boutique/hôtel de rêve collé à chez notre bonne reine et au charme de l’ancien ancienne, à la sauce londonienne.
En montant dans ma chambre, j’ai cru halluciner : la Terrace Suite est l’une des chambres d’hôtel les plus incroyables dans lesquelles il m’ait été donné de pioncer, si bien que j’ai sérieusement envisagé d’annuler ma journée pour pouvoir y buller. 57M2, non mais.
D’abord, cette terrasse privée enchantée; ensuite, ce petit salon au son stéréo et sa douce cheminée; et puis cette chambre si joliment décorée, avec dressing intégré et lit de géante moelleux à souhait. Sans parler de cette salle de bain avec écran plasma au mur, douche de 10m2, lumière en simulateur d’aube, baignoire jacuzzi et bombasses de lavabos – où tout est si joliment pensé que tu t’extasie sur tous les détails, des produits de bôté Penalighon’s et Etro jusqu’au robinets.
Et en plus, il fait beau. J’ai paaaaas envie de bouger d’ici (et même pour aller manger,) vous comprenez ?
CHAPITRE 6 / YOTAM OTTOLENGHI A NOTTHING HILL.
63, Ledburry Road, London W11 2AD.
M° : Ladbroke Grove, Bayswater.
Tel : 020 7727 1121.
Du lundi au vendredi de 8h à 20h, le samedi de 8h à 19h, et le dimanche de 8h30 à 18h.
Pas de chiottes, pas de réservations, sur place ou à emporter.
Avec ces 4 restals à Londontownicité, j’avais pas mal entendu parler de la cuisine de l’israëlien Ottolenghi : et même si en général, ça me rebute de faire un resto que tout le monde connaît (ben oui quoi, j’ai une fâcheuse tendance à aimer dénicher,) ç’aurait dans ce cas ci été presque pêché de ne pas y passer.
Dans cette minuscule échoppe de quelques mètres carrés, seuls 10 privilégiés à la fois sont à même de pouvoir poser leur fessier : et pourtant, la queue ne désemplit pas devant le resto tout au long de la journée – alors c’est dire si la bouffe aux inspirations Middle-East y fait kiffer.
Ici, l’idée est de choisir parmi toutes ces options de salades colorées exposées comme des trophées (du genre : betterave caramélisée, Daikon, yaourt miso, et basilic frais, 6,50 pounds) et de se composer son assiette à sa sauce en combinant les options, si l’on n’a pas envie de manger chaud.
Côté plats, le tataki de thon (13 pounds) est à se damner; tout comme ces keftas d’agneau adoucies à la confiture de grenade (9,50 pounds) et ce poulet rôti dans un mélange de safran, citron, les échalotes et poivre rose, accompagné d’artichauts de Jérusalem (9,50 euros.) Côté desserts, opter pour la panna cota au sureau aux oranges sanguines, servie avec son «rhubarb consommé» : c’est un grand moment de prospérité.
La dernière, c’était juste pour la tronche du mec derrière.
Allez, on va se faire le marché de Portobello pour digérer, vous venez ?
Détour obligé par le stand de fallafel végétarien et sans-gluten, vous le trouverez, il n’y en a qu’un !
Et pour finir cette promenade ensoleillée, chouf les tags muraux qui m’ont bien fait marrer :
CHAPITRE 7 / RECIPEASE BY JAMIE OLIVER.
92-94 Notthing-Hill Gate, W11 3QB.
M° : Notthing-Hill Gate.
Tel : 0203 375 5398.
Café/restaurant, épicerie, école de cuisine.
Autres adresses à Clapham Junction et à Brighton.
http://www.jamieoliver.com/recipease/
Bon ok, le staff est clairement odieux (ou peut-être suis-je tombée sur un gros jour de caca nerveux;) mais il me fallait passer par le Recipease de Jamie Oliver puisqu’en balade à Notting Hill – le contraire n’aurait pas été sérieux.
Dans cet immense resto/boutique qui sent bon la patte Jamie, ça commence au rez-de-chaussée par une balade dans l’épicerie : des bouquins de cuisine aux pains maisons en passant par les kits à cookies, on ne sait ni où donner du regard, ni du porte-monnaie.
Au premier étage, le resto est parfait pour un dèj, un tea-time, ou un early dinner vite-fait – mais le must de la casa reste les cours de cuisine dispensés au milieu du café, où des profs d‘jeuns cools t’apprennent volontiers «comment faire la meilleure mousse au chocolat de tous les temps» ou encore «comment cuisiner comme Jamie» ou même «comment devenir un maître sushi» pour 30 pounds par personne environ.
Ben quoi, j’ai soif.
Et en plus (et ça c’est pour vous mesdamoiselles,) le prof qui m’a appris à fourrer le ravioli était un avion. (Je ne ferais pas croquer, non non non.)
CHAPITRE 8 / PATTARA.
181, Fulham Road, London Sw3 6JN.
M° : Gloucester Road.
Tel : 0207 351 5692.
Autres adresses à Knightsbridge, à Soho et à Oxford Circus.
Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 14h30 et de 18h30 à 22h30. Le week-end de 12h à 22h30.
Compter 25 pounds par tête environ (encore de la kiffante value for money.)
Amasalsa karma oblige, pas question de me pointer quelque part sans marquer mon territoire par un restaurant de cuisine asiatoque : alors à défaut de temps pour une session vertigo en toute conscience chez Sushi Samba, me voici attablée dans l’un des meilleurs thaï de Londres – j’ai nommé Pattara.
Sur fond de musique Feng-shui à base de iaaaaannnn ionnng iaaaaahhh qui ouvre bien les chakras à la maître Dong, je me réjouis déjà de la déco typiquement thaïlandaise et l’ambiance tamisée à souhait (ce qui est bon pour cacher mes cernes, soit – mais moins pour la qualité de mes clichés.)
En entrée, ce doux trio de brochettes satay (poulet, bœuf et crevette : 8,75 pounds) – juste ce qu’il faut pour éveiller ma langue aux parfums thaïlandais. En plat, une dorade vapeur aux effluves coco cuite dans sa feuille de bananier (mon plat préféré, comme ça c’est placé, 16,75 pounds;) tandis que ma compagnonne de dîner ferme les yeux de bonheur façon pub yaourt velouté en savourant son Osso buco de veau braisé dans le curry Massamam (17,50 pounds,) servi dans sa feuille de lotus pochée.
Pas de dessert, je n’en aurais que plus la dalle au petit-déjeuner – et j’ai envie de dire qu’après une journée de bourlingue pareille, ça fait grand bien de manger léger mais pourtant si parfumé.
J’crois bien que quand je craquerais, c’est en Thaïlande que je partirais m’exiler. Et bizarrement, dans mon lit de reine d’Angleterre cette nuit-là j’ai drôlement bien pioncé.
Happy Sunday !
CHAPITRE 8 : BRICK LANE ET SON FOOD COURT DE CUISINE DU MONDE.
Brick Lane Market,
Bacon St, London E2 6DY.
M° : Shoreditch High Street, Liverpool Street, Aldgate East.
Les dimanches only.
On va traînasser à Bricklaaaaane avant de rentrer, ouaiiiis !!!! Génioul, faut que j’trouve des jolis tableaux pour ma petite maisonnée.
Sauf qu’au delà du kiff shopping que procure ce marché (où il est littéralement IMPOSSIBLE de flâner sans dépenser sa tête car le côté «j’ai-déniché-une-pièce-unique-si-je-l’achète-pas-j’vais-regretter» te hante jusqu’à dévalisage complet des stands fripes, lunettes, bijoux créateurs et tableaux sur-stylés) – Bricklane est aussi une véritable pépite pour les gourmets (j’sais pas du tout de qui je veux parler.)
C’est simple, une bonne trentaine de pays et leurs spécialités locales sont représentées dans le food court du marché : du naan indien au carry créole en passant par le sushi japonais et le Pasteis de nata portugais, tout y est. MAAAIIIISSSS le nec plus ultra du marché, c’est le stand turc et son supra-fin wrap de poulet aux épinards et à la fêta citronnée : le truc m’a tellement bluffée que j’en ai oublié de le photographier (pardonnez.)
Bowdel (ça, c’était en passant devant le stand antillais,) j’ai pas vu la journée passer qu’il faut déjà rentrer. Et je suis si violemment chargée… ça me fait bader.
CHAPITRE 9 : LE CHEF RAYMOND BLANC** S’INVITE DANS L’EUROSTAR.
Ceci est le chapitre final : s’en suivra une bonne semaine de non-dits et de soupe au brocolis. Bon ok, les plus attentifs vous diront que j’ai menti, puisque j’ai enchaîné chez Kei dès le lendemain midi.
Bref. Avant de penser purgeage de l’estomac complet, concentrons-nous sur la dernière étape de mon blog-trotting anglais : ça se passe dans l’Eurostar pendant le trajet en Business Premier, et c’est le chef doublement étoilé Raymond Blanc qui s’y invite lors d’un plateau repas multi-options soigneusement préparé.
Tandis que je feuillette de Time Out londonien en sirotant une petite coupette de champagne rosé, je grignote volontiers ma salade de poulet remoulade et ma salade de pommes au saumon fumé, avant de terminer sur le sucré avec un banoffee banane chocolaté.
Je pèse plus lourd que mes bagages et pourtant, j’ai rapporté de quoi m’habiller et me nourrir pour l’année. Papa, merci d’être venu me chercher. Une chose est sûre, c’est que je ne vais pas me faire prier pour rejoindre les bras de Morphée – mais avant ça, je me suis rapporté une petite activité.
Mon Dieu, je n’arrive pas à croire que cet article soit terminé. A bientôt pour un nouvel épisode de blog-trotting food & glamourisé 🙂
6 commentaires
Superbe reportage! Merci. OTTOLENGHI à d’autres tables à Londres comme Nopi et aussi une belle collection d’ouvrages de cuisine comme « Jerusalem ». La prochaine fois allez faire un tour du côté de Shoreditch le quartier où se trouvent la plupart des très belles nouvelles tables comme The Modern Pantry, The Clove Club, Hoi Polloi, Upstairs at the Ten Bells, The Princess of Shoreditch, parmis tant d’autres.. 🙂
A Londres ce week-end JE VAIS ALLER CHEZ NOPI et j’ai acheté tous les bouquins d’OttoLenghi :))))))
Bonjour Margaux,
je voulais savoir quelle est le modèle de vos Nike lors de votre voyage à Londres. Merci d’avance si vous me répondez, je les ttrouve tout comme vous splendides!
Merci pour le reportage il est extraordinaire.
Cordialement.
Marie
Salut Marie, merci pour ton message. Ce sont les nike sky high revolution. A très vite !
[…] Otto Lenghi, vous vous souvenez ? C’est ce chef que je vous avais déjà présenté dans mon reportage sur Leundeun en février dernier et dont la cuisine méditerranéenne ultra-colorée m’a plus que jamais émoustillé. (Promis, […]
Sympa ce WE! Déjà que Londres c’est hypra frais mais en business Ier et hôtel en forme de palais, c’est la classe! Tu étais invité?
Je plussoie le conseil de Serge sur Shoreditch et ses restos de dingo. Plus les nombreux marchés de street food dont l’incontournable Borough Market et son extension nettement moins connu…