«La génération Y regroupe des personnes nées approximativement entre le début des années 80 et le début des années 2000. L’origine de ce nom a plusieurs attributions: pour les uns, il vient du «Y» que trace le fil du baladeur sur leur torse; pour d’autres, ce nom vient de la génération précédente, nommée « Génération X », enfin, il pourrait venir de la phonétique anglaise de l’expression «Y», signifiant «pourquoi». D’autres termes équivalents existent, dont «enfants du millénaire» ou les diminutifs «GenY» et «Yers». Les Américains utilisent également l’expression digital natives ou net generation pour pointer le fait que ces enfants ont grandi dans un monde où l’ordinateur personnel, le jeu vidéo et l’Internet sont devenus de plus en plus importants.»
Merci Wikipédia.
Et merci aussi Eric Briones, alias Darkplanneur, qui a récemment poussé l’analyse de ces digital natives et de leur façon de consommer en publiant un bouquin sur le luxe (ou dirais-je plutôt LES luxes) réinventés par cette génération connectée: «La génération Y et le luxe» (aux éditions Dunod,) et organisa une table ronde sur le sujet. C’est ainsi qu’il demanda à Amasauce d’y incarner sa vision de la GenY, en représentant le pôle gastronomie tout au long de sa conférence au BHV Marais.
«Luxe nouvelle vague», «luxe réinventé», «luxe dans la liberté», «luxe éthique et transparent», «luxe de l’écoute», «luxe du retour à l’artisanat»… Autant d’interprétations qui, bien que communes à l’ensemble des invités, furent abordées et merveilleusement incarnées par chacun des jeunes entrepreneurs présents via leur marque adorée (La Pâtisserie des Rêves, Margaux Lonnberg, Shisheido, Fubiz…)
La genY veut le beurre, l’argent du beurre et le cul de la crémière, finalement… Une vision du luxe très Amasaucée.
Voici le compte rendu plus poussé publié par Melty sur le sujet.